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La vie est n�e avec l'alternance naturelle du jour et de la nuit que l'ANPCEN encourage.
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Nous sommes le 21 novembre 2024 et il est
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Editorial

 

 

Découvrez l’ANPCEN ! Une association en France dont l’objet social, de manière unique, est entièrement dédié aux enjeux pluriels de la qualité de la nuit et de l’environnement nocturnes, depuis plus de 20 ans. Son expertise ainsi acquise est tout à fait originale. L'action de l'ANPCEN ne se résume pas à une action symbolique quelques minutes ou quelques heures dans l'année. Avec patience, persévérance, l'association travaille de manière continue, toute l'année, pour effectuer un travail de fond.

Elle est la seule association oeuvrant par une approche globale et agissant en même temps aux deux dimensions d'action, nationale et locale, avec des coopérations internationales. Avec ses adhérents dont une centaine d'associations membres, des collectivités, des individus et familles, ses donateurs, les abonnés des réseaux sociaux, l’ANPCEN mobilise une communauté de près de 10 000 personnes. Elle agit au niveau national comme local, de manière désintéressée et bénévole. Reconnue d'intérêt général, elle a reçu en 2014, pour la 1ère fois, l'agrément national des associations de protection de l'environnement. Cet agrément lui a été renouvelé en 2019. Nos principales réalisations sont ici.

 

Au niveau national :  une action continue de plaidoyer et de pédagogie auprès des interlocuteurs nationaux (ministères, administrations, Parlement, Afnor, têtes de réseaux nationaux....

Code de l'environnement : l’ANPCEN a contribué à faire reconnaître l’enjeu de l’environnement nocturne dans les lois Grenelle de l’environnement et suit chacune des étapes de l’élaboration des décrets et arrêtés associés. De même, l'ANPCEN a fait inscrire en 2015 trois articles relatifs à l'éclairage et aux nuisances lumineuses dans la Loi de transition énergétique. L'ANPCEN a fait reconnaître en 2016 les paysages nocturnes comme patrimoine commun de la Nation et le devoir pour tous de protéger l'environnement nocturne dans loi sur la biodiversité.  L'ANPCEN a négocié l'arrêté d'extinction des façades, vitrines, bureaux non occupés entré en vigueur en 2013 et elle a effectué 3 bilans nationaux de terrain de son application. Après un recours associatif gagné devant le Conseil d'Etat, l'ANPCEN a mené 9 mois d'échanges et discussions en 2018 pour voir publiés deux arrêtés en décembre pour un grand nombre d'installations lumineuses. L’association a contribué également aux discussions sur une norme expérimentale de l'Afnor et sur les certificats d’économie d’énergie de l'éclairage public. L'ANPCEN a fait avancer l'inscription des effets sanitaires et sur la biodiversité des LEDS dans le Plan national santé environnement. L'ANPCEN répond également à un grand nombre de consultations publiques afin de faire progresser l'approche intégrée des enjeux d'éclairages.

Eclairage du XXIème siècle : l'ANPCEN souhaite un éclairage contemporain. Mais la modernité et l'innovation ne se résument pas seulement à l'achat de la dernière technologie, de gestion électronique et autres objets dits "smart" ou "intelligents". L'innovation réside dans une nouvelle conception des finalités de l'éclairage et une approche globale : prise en compte des coûts globaux et impacts globaux, des installations lumineuses sur l'ensemble du cycle. Avec l'intégration à réaliser désormais des externalités environnementales, sanitaires et sociales de l'éclairage. L'innovation consiste à répondre aux besoins réels ajustés aux territoires, donc des habitants, et non faire partir les choix de l'offre et des prescriptions des acteurs économiques directement intéressés. Les enjeux du XXIème siècle nécessitente plus de sobriété lumineuse, en se fixant avec un peu de bon sens des limites. Les entreprises du secteur sont appelées à des démarches de responsabilité sociétale exemplaires, les situant en ce domaine au niveau des entreprises d'autres secteurs, et reposant sur des engagements publics de progrès.

Biodiversité et santé humaine : l’ANPCEN porte la recommandation nationale historique d’une meilleure gestion de la lumière dans les trames vertes et bleues sous la forme d’une « trame nocturne », et la prise en compte de la lumière artificielle dans les continuités écologiques est désormais entrée dans la loi biodiversité depuis 2016, grâce à notre plaidoyer. De même, l'ANPCEN oeuvre à la prise en compte des effets de la lumière dans les politiques ou actions de santé-environnement. Le suivi des effets des Leds par l'ANSES est ainsi entré pour la première fois dans le 3e plan national santé environnement et les effets des nuisances lumineuses et d'éclairages à forte composante bleue sont renforcés dans le 4e plan.

Open data : l'ANPCEN demande un accès ouvert aux données publiques de l'éclairage public, en accord avec les engagements internationaux et nationaux pris par le gouvernement.

Gouvernance : l'ANPCEN demande à participer à l'élaboration de tous les textes de référence sur l'éclairage. L'ANPCEN demande expressément un changement de conception : passer d'un éclairage organisé sous l'impulsion de l'offre économique à celui d'une réponse à des besoins avérés, moins théoriques et le plus souvent sur-dimensionnés. L'ANPCEN demande une politique nationale de la lumière artificielle nocturne avec au minimum un objectif de réduction de la quantité de lumière émise, un suivi réel par l'Etat des évolutions, des expertises totalement indépendantes, avec une approche globale d'effets et des coûts de l'éclairage....

Pédagogie : l’ANPCEN sensibilise tous les interlocuteurs nationaux et locaux aux enjeux de l’évolution incontrôlée et exponentielle de l’éclairage public, et plus largement d'éclairages extérieurs, privés et publics, entraînant des halos de pollution lumineuse, des lumières intrusives, la disparition de la nuit par dégradations de l’environnement nocturne. Ainsi l’ANPCEN recense des données et notamment liste les communes pratiquant l’extinction nocturne en milieu de nuit. Elle recommande également un meilleur recours à l’extinction partielle ou totale, dans la gestion des communes, afin d'agir d'abord avec bon sens, avec des dispositions simples, sans coût et à économies immédiates, en euros, en Kwh et en nuisances lumineuses. Nous développons de nombreuses recommandations depuis plus de 20 ans. Elles s'avèrent de plus en plus reprises et utilisées par tous.

Outils : l’ANPCEN a mis au point une véritable "boîte à outils" comme une cartographie de pollution lumineuse et des étiquettes environnementales originales, sur le modèle des étiquettes énergie déjà connues du grand public, pour permettre aux élus de situer la performance des dispositifs existants et de fixer leurs objectifs en termes d’éclairage public. Elles permettent également de promouvoir ces objectifs de manière lisible et simple auprès des citoyens. L'ANPCEN publie des documents grands publics, de la documentation pour les élus et équipes municipales, les acteurs environnementaux... Elle recense des études scientifiques. Elle a réalisé une série de témoignages videos d'élus, un guide de 16 pages de 40 questions/réponses pour les communes. Elle propose une charte d'engagements volontaires aux communes et valorise les progrès par un label national. Elle a conçu des infographies pédagogiques sur les règles d'extinction d'un arrêté de 2018. Elle produit des recommandations pour accompagner les choix d'éclairages et environnementaux des acteurs publics et privés.

Nos recommandations nationales ou positions sont régulièrement mises à jour et sont consultables sur notre site.

 

 

Localement : au plus près des communes et des citoyens

Conférences, animations, expositions, réunions publiques… : les correspondants locaux de l’association alertent et sensibilisent toute l’année citoyens et décideurs publics nationaux et locaux sur la pollution et les nuisances lumineuses. Ils participent aux animations de découverte de l'environnement nocturne.

Charte et conseils : l’ANPCEN a conçu la première charte proposée en France à la signature des communes qui acceptent de s’engager volontairement à rénover leur éclairage extérieur et ses usages, en intégrant les dimensions environnementales dans leur projet. Près de 400 communes, conseils généraux, communauté de communes, syndicats d'énergie l'ont déjà signé : des millions d'habitants sont déjà concernés ! Deux villes de plus de 100 000 habitants se sont engagées aux côtés de l'ANPCEN, en la signant, et montrant que l'action est possible quelle que soit la taille de la collectivité. L’ANPCEN organise des échanges et rencontres, apporte des solutions et des conseils, gracieusement et bénévolement, à ceux qui souhaitent mieux gérer les éclairages extérieurs publics et privés, ou faire comprendre les enjeux.

Le label national Villes et Villages Etoilés est un label original qui valorise localement toutes les communes qui agissent ou veulent progresser par un label national valable 5 ans : 722 communes labellisées, de une à cinq étoiles, ont vu ainsi leur démarche de progrès valorisée, localement et nationalement. Le choix de l'ANPCEN est d'agir sur tout le territoire et non pas réserver la qualité de ciel à quelques espaces peu ou non habités. La démarche d'inscription d'abord communale a été élargie aux territoires, afin de favoriser des participations collectives.

 

International : en réseau

L'ANPCEN échange et coopère avec des acteurs internationaux de pays voisins.
De plus, l'association américaine, International Dark sky Association, lui a décerné un Trophée en 2013 "pour son leadership audacieux"...

Et, important à savoir, ....toutes nos actions sont désintéressées et bénévoles !

 

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Réalisation ANPCEN : Le suivi continu de la qualité de la nuit en France !

66 millions de personnes, 36 000 communes et tous les milieux naturels sont concernés par la pollution lumineuse, toutes les nuits ! Elle a des impacts mesurables sur la biodiversité, sur le sommeil et la santé humaine, sur la consommation d’énergie, sur les dépenses publiques, sur l’observation du ciel étoilé pour tous, à proximité de chez soi.

L'ANPCEN a réalisé un suivi des tendances de l'éclairage public et publie une carte de la qualité de la nuit en France montrant que celle-ci est globalement moyenne à médiocre partout hormis quelques zones peu habitées.

L'occasion d'interroger le gouvernement : une politique construite de réduction des nuisances lumineuses, avec une approche globale, existe-t-elle ? Si les nuisances lumineuses sont reconnues par la loi depuis 2009, par la loi de 2010, dans la loi de transition énergétique de 2015 et dans la loi de reconquête de la biodiversité votée en 2016... malgré de premières avancées institutionnelles, louables en France, et des pratiques locales qui commencent à changer, il n’existe toujours pas d’objectif national chiffré de progrès, pas de plan d’actions organisé, aucun outil public de mesure et indicateur. De plus, la recherche d’efficacité énergétique est souvent confondue, à tort, avec une politique de réduction des nuisances lumineuses et la confusion entre énergie et lumière règne. Ainsi on peut constater qu'en de nombreux endroits certains de ceux qui veulent économiser des kWh émettent toujours plus de lumière !

Pour contribuer à l’élaboration d’une politique française réelle, construite et globale de « prévention, limitation, suppression des nuisances lumineuses », l’ANPCEN propose désormais au Gouvernement :

- des objectifs inspirés des trajectoires des politiques énergie ou climat en facteur 2 et 4 ainsi qu'un indicateur de suivi réel des évolutions (graphique Anpcen)

- des principes pour i"nventer l'éclairage du 21ème siècle" : manifeste Anpcen, inventons l'éclairage du 21ème siècle

- ainsi que des outils cartographiques originaux de suivi de l'état de la pollution lumineuse et des extinctions pratiquées par les communes.

L'ANPCEN propose également aux citoyens des outils de participation interactive pour tout le territoire.

Une attente très longue : Sous l'impulsion de l'ANPCEN qui contribue fortement et de manière continue au cadre national nécessaire à la reconnaissance, dans tous ses aspects, d'un enjeu orphelin, une loi de 2009 indiquait que la « prévention, la limitation et la suppression des nuisances lumineuses devaient faire l’objet de mesures ». Une première réglementation limite en théorie depuis 2012 la durée d'éclairement des enseignes lumineuses, mais elle n'a jamais été appliquée, encore moins vérifiée. Puis de même en 2013, une 1ère règlementation limite les durées d’éclairement superflues pour les façades, vitrines et bureaux non occupés en milieu de nuit et relie réduction des nuisances lumineuses et des consommations d'énergie. Pour les conséquences sur la biodiversité, la pollution lumineuse est également désormais inscrite depuis 2014 dans les orientations générales de la trame verte et bleue, pour les enjeux de continuités écologiques. Depuis juillet 2015, la nouvelle loi pour la transition énergétique, renforce, avec la proposition faite par l’ANPCEN, la nécessité « d’exemplarité environnementale et énergétique de l’éclairage public », et sa prise en compte dans « un volet spécifique des Plans climat-air-énergie territoriaux (PCAET) ». Depuis juillet 2016, les paysages nocturnes sont reconnus comme "patrimoine commun de la nation" et est inscrit le "devoir pour tous" de protéger l'environnement nocturne. Aussi la construction progressive du cadre institutionnel, en  cours depuis plusieurs années, nécessite-t-elle sa traduction désormais dans un plan construit d’actions globales et cohérentes, avec des objectifs simples et clairs.

★ Consultez notre dossier de presse complet


Découvrez les enseignements des trajectoires suivies depuis 1960 et nos propositions d'objectifs de réduction

Chiffres-clé :

+ 94 % de lumière émise en France en 20 ans
+ 89 % de points lumineux... pour le seul éclairage public

auquel il faut rajouter toutes les autres sources lumineuses : enseignes et publicités lumineuses, façades, vitrines, bureaux non occupés éclairés, illuminations, éclairages permanents de parkings vides ou fermés, sites privés, etc...

 

Graphique Anpcen@

Trop de confusion entre énergie et lumière !

Pour la première fois, les courbes d’énergie consommée (bleue) et de lumière artificielle nocturne émise (verte) sont représentées de manière distincte. On voit ainsi qu'elle ne suivent pas les mêmes trajectoires. La courbe de la lumière semble toujours sans aucune limite.

Pour "prévenir, limiter, supprimer les nuisances lumineuses", objectif inscrit dans la loi, il est essentiel de ne pas confondre énergie et lumière et ne pas oublier la nécessité d'agir sur la courbe d'évolution de la lumière, tant dans les politiques publiques qu'à travers actions et choix locaux.

En effet, la prescription visant la seule recherche "d'efficacité énergétique" n'engendre pas nécessairement la réduction de la quantité globale de lumière émise la nuit, source de nuisances lumineuses. Il est même constaté bien des exemples contraires : parce que la consommation est moindre, on éclaire davantage !

Observez la courbe bleue : On constate une relative stabilisation de la consommation énergétique liée à l'éclairage public, depuis 2005, principalement due à la réduction de durées d'éclairement en milieu de nuit, mesure qui s'apparente beaucoup plus à "la sobriété énergétique" par les usages et les mesures de bon sens. Celle-ci est désormais inscrite à part entière dans les objectifs de la loi de transition énergétique. Cette stabilisation relative n’est que partiellement due à la recherche "d'efficacité énergétique" au regard de très lourds investissements effectués pourtant par les communes, et, lorsque l'augmentation de l'efficacité lumineuse des sources engendre bien une baisse suffisante des puissances électriques installées.

Observez la courbe verte et la courbe rouge : la courbe (verte) tracée pour la première fois depuis 1960 à 2015, montre en revanche que la quantité de lumière artificielle émise la nuit est fortement en hausse depuis les années 80 : + 94 % entre le début des années 90 et 2012, avec un taux de croissance annuel moyen de 3,3% en France depuis 1992. Elle traduit en partie l’extension continue du parc d’éclairage public (courbe rouge) qui compterait désormais 11 millions de points lumineux, soit + 89 % entre 1992 et 2012, dans beaucoup de communes françaises, (rythme plus de deux fois plus important que le taux d’artificialisation des sols). Elle traduit également l’augmentation importante des durées d’éclairements à partir des années 1980, ainsi que la faible réduction des puissances installées, au regard des gains techniques de rendement lumineux.

Observez la courbe orange : Comme l'ANPCEN l'a montré dans l'étude MEB-ANCPEN juillet 2015, “Eclairage du 21ème siècle et biodiversité”, la lumière artificielle nocturne n'est conçue que de manière anthropique. Ainsi, elle ignore à ce jour la fragmentation des milieux par la lumière, les besoins et les comportements la nuit des êtres vivants de la biodiversité, comme les caractéristiques de leur vision spécifique. Pourtant la perception de la lumière est très différente entre humains et espèces vivantes, vivant sur les mêmes territoires.

Aussi pour faire progresser la réflexion et l’action, l’ANPCEN propose une première estimation moyenne de la visualisation de la lumière artificielle nocturne, par les espèces basée sur la proportion de sources lumineuses à base de lumière blanche parmi les points lumineux du parc et l’écart de perception en moyenne entre sources lumineuses blanches et lampes à lumière jaune-orangé, pour une puissance lumineuse donnée. Ce travail exploratoire devra être affiné, selon les particularités des espèces et différents paramètres, en tenant compte notamment des indications fournies dans l’étude MEB-ANPCEN 2015.

Formuler des objectifs de politique publique

Nommer un sujet ne suffit pas à conduire une action progressant dans le bon sens !

Aussi l'ANPCEN, pour construire une politique réelle de progrès mesurés, propose au Gouvernement des objectifs de réduction, inspirés de la trajectoire des politiques publiques climat ou énergie définies en facteur 2 à 2025 ou 4 à 2050. (courbes en pointillés sur le graphique ANPCEN).

A fixer, suivre et mesurer. Seul moyen de respecter réellement la loi établissant la nécessité pour tous de "prévenir, limiter, supprimer les nuisances lumineuses".


Avec un indicateur de suivi des trajectoires observées de 1960 à 2015, des objectifs proposés pour réduire les nuisances lumineuses pour les humains comme pour la biodiversité,

L'état actuel de la qualité de la nuit en France : une Cartographie-Anpceninédite 

Globalement médiocre à moyenne

La Cartographie-Anpcen© représente le niveau de pollution lumineuse, en 2015, visible depuis le sol en début de nuit, et intégré dans toutes les directions et non plus seulement au zénith.

L’échelle en dégradé de couleurs, du blanc au violet, décrit une qualité du ciel et de l’environnement nocturnes qualifiée de très mauvaise à maximale. Elle qualifie la qualité de la nuit de très mauvaise à maximale. Très mauvaise représente par exemple plus de 30 fois la luminance naturelle du ciel, en l'absence de lune et par ciel clair.

De très rares endroits en France sont préservés. La dominante jaune de la carte démontre que la qualité de la nuit en France, avant toute modulation de l’éclairage public, est médiocre ou au mieux moyenne dans nombre de zones urbanisées. Les agglomérations génèrent des halos lumineux perceptibles à forte distance. La diagonale du centre avec un environnement nocturne en moyenne de meilleure qualité est liée à la faible densité démographique des espaces concernés et aux effets de masquage par le relief, atténuant la perception de la pollution lumineuse des villages se trouvant dans les vallées.

La Cartographie-Anpcen permet de prendre en compte les modulations d'usages (par extinction ou réduction de puissances) en seconde partie de nuit pour quantifier les évolutions recherchées et servir d’outil de pilotage. Des cartes sur-mesure peuvent ainsi être réalisées permettant d’affiner cette nouvelle cartographie à différentes échelles territoriales.


★ Consultez notre dossier de presse complet des propositions faites au Gouvernement

★ Consultez la plateforme collaborative que vous propose l'ANPCEN, afin de contribuer à notre collecte de données permettant de documenter les enjeux.


L'utilisation des données, graphiques, cartes ou outils de l'ANPCEN nécessite une autorisation écrite de l'association.


★ ★ ★ L'OEIL DES MEDIAS

Paru sur France 5, émission C'est à dire, interview de l'Anpcen par Axel de Tarlé : un résumé des enjeux et le témoignage d'un commandant de police expliquant qu'il n'y a aucune progression des chiffres d'intervention de police avec une extinction nocturne

Paru dans le Monde Planète et Yahoo
Paru dans Actu-Environnement
Paru dans la Croix.com et La Croix
Paru dans RTL soir
Paru sur France Bleue Ile de France, Toulouse...
Paru sur France Info
Paru dans Radio France Internationale
Paru dans l'Obs
Paru dans Libération
Paru dans BFMTV Business
Paru dans Ouest France 
Paru dans AEF
Paru dans le Parisien
Paru dans M6 
Paru sur F2 Télématin - FRANCETV INFO

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